vendredi 30 novembre 2012

It's the beat to keep.


Depuis que je suis rentrée de Marciac, je n'arrête pas d'y penser. Honnêtement, j'ai l'impression d'être en renaissance musicale totale, j'y repense tellement souvent que je crève d'impatience d'y retourner l'été prochain ! De plus en plus de jazz m'accompagne chaque jour, je me réveille le matin avec TSF... Non mais TSF ! Je me choque. Positivement, mais je me choque quand même. Maintenant, je traîne mes vans au sunset, au duc (des lombards) et dans d'autres clubs de jazz parisiens avec ma mère. Et on se met sacrément bien ! Mais attention, ne nous méprenons pas. Je garde quand même en tête mon premier amour en tête, l'électro et tout ses courants me donnent toujours des frissons quand il s'agit d'un bon son. 


Je suis donc tombée il n'y a pas longtemps sur un artiste nommé Pegase. Oui, sous ce patronyme on ne peut plus bizzare, c'est bien Raphaël d’Hervez qu'on avait déjà croisé chez les Minitel Rose que nous retrouvons. Pop Indie, un style beaucoup trop souvent utilisé pour définir les musiques d'hipster faussement branchés avec leurs moustaches et leur clarks usés beaucoup trop proprement, serait un terme beaucoup trop superficiel pour  définir l'univers de ce jeune homme. Intimes, planants et même un peu mystiques, ses (re)mixs sont à écouter sans modération. 



Et le nouveau clip. *petit cri de bonheur*

mardi 27 novembre 2012

Dance, dance, dance.

Bon. La seconde, c'est plus dur que ce que je pensais. Je m'étais dit "Ca va, ma derniere année avant le bac, je vais pouvoir me reposer !"... Et bien pas du tout. Des vecteurs, des dissertations, des present perfect en veux tu en voilà, me voici officiellement lycéenne, enjoy it ! J'ai donc légèrement laissé à l'abandon ce blog, mais je reviens en force, ne me lyncher pas, s'il vous plait. 

Quand j'étais petite, comme toutes les princesses qui se respecte, je voulais être danseuse étoile. Les tutus, les ballerines, la total... Puis j'ai grandis. Heureusement. Par contre, à chaque fois que je passe devant une vitrine Repetto, mon regard brille légèrement, une envie irrésistible de tout rafler m'habite. Je ne suis plus moi. Oui, ça parait un peu trop poétique pour une jeune fille devant une vitrine. Quand j'ai reçu ma première paire de Zizi il y a quelques semaines, j'étais comme une folle ! Malheureusement, curieuse comme je suis, il a fallu que je check le lookbook de la garde robe. Et là, c'est le choc. Les pièces iconiques, intemporelles et pures défilent devant mes yeux. Comme un vrai rêve, vous voyez ? Emilie Leduc, celle qui a imaginée cette collection, est devenue une faiseuse de contes pour moi. Oh, aller, avouez... que celle qui ne s'est jamais imaginé en petit rat de l'Opera me jette la première pierre. 


Aïe.

Bon, pour celles qui ne lancent pas de pierres, la garde robe est disponible dès demain sur le site de Repetto, et un peu plus tard en boutique. Laissez moi une robe, quand même, merci d'avance. 




PS: Le titre de ce post fait réference à une de mes chansons préférées de Likke Li. 

mercredi 7 novembre 2012

Four more years.


Je pense sérieusement à me lancer dans la politique. Hihi.